dimanche 16 février 2014

Le côté équestre de la prose

Si vous n'avez pas encore lu le roman, il n'est peut-être pas judicieux de s'aventurer plus loin, des éléments de l'intrigue peuvent être dévoilés.


Audace, ignorance, ou bien...

Je vois déjà des gens du cheval s'indigner. Mais quoi ? Un Frison champion de dressage mais n'importe quoi ! (sur un ton parfaitement outré, ça sera encore mieux) Sans compter  qu'elle en rajoute une couche et veut nous faire croire qu'un Pur-Sang Arabe...

Bon, du calme, tout va bien. Alors non je n'ai pas écrit sous l'emprise de quoi que ce soit d'illicite, mais... c'est un roman. De la fiction, un truc où on peut faire ce que l'on veut. Alors j'avais décidé d'abord qu'un Frison ça ferait très classe, et tant pis pour le côté pas toujours très réaliste de la chose, je n'ai pas écrit un précis d'équitation. Donc caprice d'écrivain, le champion de mon monde onirique est un Frison. Et j'en rajoute même une couche avec un prétendu cavalier international qui sort seul en concours, comme monsieur tout le monde, conduisant lui-même son camion. Mouahaha, du grand "délire"... Mais dans mon monde c'est comme ça que ça peut se passer. Et puis d'abord : pourquoi pas.


Mais sinon ?

Mais sinon, je suis bien une authentique cavalière, du style qui a le garage encombré entre selle, tapis, brosses, seaux en tout genre, bottes et chaps crottées qui sèchent. Sans prétention aucune, je suis une assidue de la balade. "Ma Morue" oui, je sais, c'est stupide comme surnom, comme tout surnom qui se respecte, mais elle le vaut bien vous fait d'ailleurs l'honneur d'un coucou sur la quatrième de couverture. Elle a été bien brave ce jour là pour supporter la séance photo après une bonne sortie commencée sous la pluie.

Golega et Pierrig ont authentiquement reçu des grattouilles derrières les oreilles et ils avaient depuis très longtemps leur nom dans le récit.


Ma Kelynette dite Morue :

L'histoire qui ne dit pas son nom - cheval